Bonjour,
Comment ne pas réagir aux critiques formulées à l'encontre du personnel de Béclère (toutes professions confondues). Comment peut-on se plaindre alors que ces derniers font le maximum pour nous accompagner sur le chemin de cette terrible maladie, en nous prodiguant à la fois des soins et du réconfort se transmettant au travers de leurs mots et de leurs actes.
Malade depuis novembre 2000, il n'y à qu'à Béclère que j'ai obtenu des réponses à mes questions et rencontré des gens extraordinaires, dévoués et prêts à combattre avec moi, des gens compétents qui savent de quoi ils parlent et surtout pourquoi ils agissent.
Comment peut-on se plaindre de la qualité des repas servis à l'hôpital ou de problème d'intendance lorsque l'on est porteur de cette maladie, n'existe t-il pas d'autres priorités et ne serait-il pas plus important de se réjouir de pouvoir encore s'alimenter car cela prouve que, grâce aux médecins on existe encore, alors ma foi que la fourchette soit faite d'argent ou d'inox, qu'importe ! l'essentiel pour moi étant d'être encore là pour m'en servir.
Quant au ménage, mon dieu, il y a longtemps que je ne m'amuse plus à compter les moutons....que ce soit les miens ou ceux des autres..ma priorité étant chaque jour de continuer à vivre et, à choisir,je préfère contempler un coucher de soleil plutôt que les poils d'un balai !!.
S'il y a un manque cruel et ressenti d'effectifs dans les hôpitaux, la démarche n'est pas de s'en prendre au personnel dont le dévouement est immense, la démarche n'est pas non plus de tout critiquer, la seule à faire est de s'adresser à ceux qui sont responsables de cette situation : ce ne sont ni les infirmières, ni les kinés, ni X ou Y.
Moi je dis, je redis et le redirais jusqu'à épuisement de mon souffle : MERCI A TOUS car même si ma route doit s'interrompre brutalement, j'aurais tout de même vécu des prolongations qui en valaient sacrément la peine et ce, grâce au personnel soignant de Béclère.
Voilà, c'est tout mais c'est beaucoup et je tenais à vous transmettre ces mots.

bonjour!ceci est un forum donc on a le droit de partager nos petits tracas,nos interogations,nos coup de gueules et apres d'en rire!se taire c'est accepter!et les critique ici plutot moderées peuvent aider les soignants qui les lisent a faire mieux!j'ai un profond respect pour beclere,leur soignants,et meme ceux qui nettoie,chacun a ete un rayon de lumiere quand j'etait au plus mal!chacun a mis sa plus grande volontés pour que je vive encore et puisse m'occuper de mon fils!alors loin de moi de les critiquer.il y a quelque semaine,une femme a eu les meme soucis que moi lors de nos hospitalisations,je lui ai raconter mes "deboires"point!ca s'arrete la!ce n'etait ni mechant,ni virulent!peut etre cela vous ai deja arriver....ou peut etre pas !!quelle chance!!!bonne journée et bon courage a tous

Boujour à tous,

Je suis tout à fait d'accord avec Noëlle.
Personnellement je suis suivi à Béclère depuis 1993 et j'ai trouvé dans les services de pneumologie tout ce que je pouvais espéré. GENTILLESSE, disponibilité, des médecins (y compris des internes), des infirmières, des aides soignantes, des femmes de ménage, etc, etc, etc, ............

Je ne vais pas redire tout ce qui a été dit sur le dévouement de TOUS avec les moyens insuffisant dont ils disposent. C'est absolument génial.

Que ces critiques faites à des personnes aussi dévouées m'ont fait mal.

Heureusement qu'ils sont tous là à notre service, sinon .... où serions nous ????

Amicalement et courage à tous

Bonjour a tous
J'ai lu un peu plus loin les critiques d'une dame concernant Beclere suite au deces de son mari. Je comprend sa colere et personne ne connait sa facon de reagir en face d'un tel drame.
Je suis suivie a Beclere depuis 2002 et c'est vrai que j'ai ete choquée par les paroles blessantes concernant le personnel de Beclere. Je n'ai jamais eut de problemes que ce soit avec les medecins les internes les infirmieres les aides soignantes et j'en oubli surement. Ils sont tous competent et je leur fais entierement confiance. Cet hiver j'ai du etre hospitalise pres de chez moi et aux urgences j'avais l'impression d'etre dans la 4eme dimension ou d'etre une marsienne quand je parlais de ma maladie. Je suis sortie le dimanche matin et le lundi matin j'etais a Beclere soulagée d'etre hospitalisee la bas sure d'etre prise en main comme il faut.
Avant ma maladie j'avais une petite phobie des hopitaux et avec Beclere elle est passee assez rapidement ( heureusement d'ailleurs)
J'y vais debut Aout pour un bilan sans aucun probleme
Voila
A bientot
Caroline

BONSOIR ,
Je suis tout à fait d accord avec ce que vous exprimez dans votre message. Ma soeur Karima a été soignée à L hôpital Béclère , elle a été plsu qu une patiente pour le personnel , et pour nous le personnel , c était notre famille , nous habitions LIlle et savoir Karima entourée d une équipe aussi formidable durant notre absence nous rassurais , effectivemant les repas , le manque de moyens ... ne dépend pas de l equipe hospitalier,l important est avant tout le soutiens qu ils peuvent apporter aux patients comme à la famille , j avais un plaisir de rendre visite à ma soeru et de retrouver toute l equipe avec qui nous avons partager des moments agréable et Karima en était heureuse ,. Durant sa maladie lors de ses malaises , elle était dirigé vers le CHR pour les premiers secours et effectivement lorsque j évoquais sa maladie , je recevais des regards d étonnements, eh oui maladie encore trop méconnu , et Karima en était effrayée et souhaitait qu on la transfère à Béclère où elle se sentais plus rassurée ...
C est pourquoi ej tiens à remercier toute l équipe de l hopital , et Karima me disait , je reviendrais souvent rendre visite au personnel hospitalier, ma seconde famille après ma greffe, après ma greffe ,elle est partie mais ej respecte sa mission et je en manquerais pas de venir vous remercier de vive voix dès que possible ..
ALors à tous les patients , je suis conciente qu il y a des moments difficile , des choses pour lesquelles nous en sommes pas d accord mais comme Karima saisissais ces instants de bonheur même à l hopital on peut en vivre malgrès la douleur. Karima avait la joie de vivre même au lit , nous avions des fous rires, ainsi est fites la vie de joie de peine et de malentendus mais retenons et savourons nos moments nos joies .... La vie est beaucoup trop courte pour s' alourdir de détails ,
Je vous embrasse tous et courage

Naima