Bonjour,
Je viens juste de lire les messages concernant la grossesse.
Pour ma part, il a été très difficile "d'admettre" que je ne pourrais porter un enfant (je pense que le deuil ne se fait jamais).Il m'a fallu près de 3 ans pour réfléchir à l'adoption, nous avions trop de craintes, nous nous posions beaucoup de questions, enfin grace à des amis ayant déjà adopté, nous sommes mainteant membres d'une association de parents adoptifs de notre région. Je pense, pour ma part, tout du moins, que l'adoption d'un enfant doit être un choix qui se fait à deux, nécessitant une réflexion longue parfois mais quand la décison ets prise il faut se lancer.
C'est ce que nous avons fait en décembre 2000 et avaons obtenu l'agrément DAS en septembre 2001. Après une très grosse déception vis à vis d'un dossier effectué au Cambodge (adoptions provisoirement interromptues), notre dossier étant bloqué depuis le mois d'octobre 2001 à l'ambassade de PP, nous nous tournons petit à petit vers l'adoption d'un enfant pupille (même si cela est long)où bien (si nous avons de la chance) vers l'adoption d'un enfant de Djibouti ....
L'adoption est une chose merveilleuse mais qui ne doit pas se faire comme "roue de secours" il faut être sûr d'apporter à l'enfant à venir tout l'amour, la patience et l'attention qu'il attendra puisqu'il en aura été privé et ce de façon aussi forte et passionnelle que si c'était pour un efnant biologique. Nous ne savons pas ou ets notre enfant, est-il est déjà né ? mais nous l'aimons déjà de tout notre coeur et avec toutes nos trippes.
Voilà, voilà, je m'arrête car il est tard et je pourrais en parler pendant des heures (n'est-pas Mélanie ?? !!)
@ bientôt
Audrey